Pipi Stop®

Le bon suivi de votre enfant est primordial

Durée du traitement avec Pipi Stop®

Avec le Pipi Stop® , le plus grand nombre de succès chez le sujet jeune se produit deux semaines après le début de l’utilisation de l’appareil, les autres peuvent demander plusieurs semaines.

Pendant les toutes premières nuits, les patients qui ont le sommeil profond se réveillent difficilement. II est nécessaire, au début, qu’un parent les aide.

Mais peu à peu l'appareil sonne beaucoup moins longtemps et la tache humide diminue.

Très rapidement l'enfant s'arrête d'uriner dès que la sonnerie retentit, et se réveille aussitôt.
Après une ou deux semaines, apparaissent des nuits où l’appareil ne sonne pas. Soit qu’il ne se passe rien, soit que l’enfant se réveille avant la miction.

Ces nuits deviennent de plus en plus nombreuses. Enfin le succès est définitif.

Il faut compter en moyenne un délai de trois semaines. L’appareil doit être laissé en surveillance au moins deux semaines après le dernier mouillage.

Des rechutes se produisent rarement. Une nouvelle utilisation de l’appareil est alors nécessaire pendant quelques jours pour obtenir un succès complet.

Il est utile de faire un bilan des nuits

Nous préconisons de noter les bilans nocturnes sur la feuille jointe, sur laquelle se trouveront consignées :

  • les nuits où l’appareil a sonné,
  • l’heure de la sonnerie et le diamètre de la tache,
  • de même les nuits où l’appareil n'a pas sonné.

La constatation de la réduction de la tache humide et de l'espacement des dates de sonnerie doit être un stimulant suffisant pour l’enfant, à qui on ne doit promettre aucune récompense.

Si l’enfant est plus âgé (au delà de 7 ans), il faut lui affirmer qu’il doit prendre en main son traitement
Il aura maintenant te moyen de se réveiller lui-même et de devenir indépendant.
Le parent n'est qu’un auxiliaire qui aidera l’enfant lorsqu’il aura des difficultés. Il faut supprimer toutes les habitudes qui renforcent la passivité de l’enfant (alèse en caoutchouc, etc.).

Il est nécessaire de susciter chez l’enfant le besoin de guérir, c’est le facteur important pour la réussite du traitement. Les résultats sont plus difficiles à obtenir chez les enfants passifs, qui mettront de la mauvaise volonté. A l'inverse, les meilleurs résultats sont obtenus avec les enfants déculpabilisés qui souhaitent vraiment guérir et envisagent une collaboration étroite.